Top 10 des centres d’intérêt à mettre sur un CV pour séduire les recruteurs

Tu penses que les recruteurs se fichent de tes loisirs ? Erreur. Bien choisis, tes centres d’intérêt peuvent faire la différence entre un CV oublié et un entretien décroché.
Mais pas question de mettre “lecture” ou “voyages” au hasard. Certains hobbies en disent long sur ta personnalité, ton sens du travail en équipe ou ta capacité à gérer la pression. Et les recruteurs, eux, lisent entre les lignes.
Voici les 10 centres d’intérêt qui attirent vraiment l’œil… et les bons retours. Et surtout, comment les présenter pour qu’ils bossent pour toi.
En bref
Les centres d’intérêt sur un CV ne sont pas là pour faire joli. Bien choisis et bien présentés, ils peuvent vraiment t’aider à décrocher un entretien.
Les 5 choses à retenir :
- 🎯 Sois précis : oublie les termes vagues comme « musique » ou « lecture »
- ✅ Mets en avant des qualités utiles (esprit d’équipe, créativité, fiabilité…)
- 🧩 Fais le lien avec le poste visé pour montrer ta cohérence
- ✍️ Utilise un format clair : hobby + description + compétence
- ⚠️ Reste honnête et à jour, mieux vaut simple et vrai que flou ou inventé
L’importance des centres d’intérêt sur un CV
Souvent relégués en bas de page, les centres d’intérêt sont pourtant bien plus qu’un simple bonus sur un CV. Ils peuvent jouer un rôle clé pour capter l’attention d’un recruteur. Surtout quand plusieurs candidats ont des profils similaires.
Les recruteurs ne cherchent pas seulement des compétences techniques. Ils veulent aussi comprendre votre personnalité, votre motivation et votre capacité à vous intégrer dans une équipe. C’est là que vos passions entrent en jeu.
Pourquoi les recruteurs y prêtent attention
Un centre d’intérêt bien choisi peut révéler des qualités précieuses comme la créativité, la gestion du stress ou encore l’esprit d’équipe. Par exemple, un passionné de théâtre peut démontrer de la confiance en soi et de la communication. Un amateur de randonnée montre de la persévérance et de la résistance.
Voici ce que les recruteurs peuvent déduire à partir de vos loisirs :
- Sport collectif : esprit d’équipe, collaboration, leadership
- Jeux de stratégie : analyse, résolution de problèmes, patience
- Voyages : adaptabilité, curiosité, ouverture d’esprit
- Musique : discipline, créativité, rigueur
Un moyen de se démarquer
Sur LinkedIn ou sur un CV classique, les expériences se ressemblent souvent. Mais un loisir original peut piquer la curiosité. Un recruteur peut vous poser une question dessus en entretien. C’est une porte d’entrée vers une discussion plus humaine.
Par exemple, si vous indiquez que vous pratiquez l’improvisation théâtrale, cela peut suggérer une bonne gestion du stress et une forte capacité d’adaptation. Deux qualités très recherchées, surtout dans des environnements agiles.
Ce qu’il faut éviter
Attention à ne pas lister des centres d’intérêt trop vagues ou trop communs. Évitez les « cinéma », « lecture », « musique » sans précision. Cela n’apporte rien. Soyez spécifique. Dites plutôt “comédies dramatiques françaises” ou “romans policiers contemporains”.
Évitez aussi d’inventer. Les recruteurs expérimentés repèrent vite les fausses passions. Et si vous tombez sur un recruteur passionné par le même sujet, vous risquez d’être démasqué.
Comment bien les présenter
Placez vos centres d’intérêt à la fin du CV. Utilisez des mots simples, mais précis. Pas besoin de longues phrases. Mettez en avant ceux qui révèlent une compétence utile dans le monde professionnel : organisation, initiative, fiabilité, etc.
Exemples :
- Escalade – détermination, gestion du risque
- Écriture de nouvelles – créativité, discipline
- Hackathons – innovation, travail en équipe
Un bon centre d’intérêt peut faire la différence. Il montre ce que vous valez en dehors des diplômes. Et parfois, c’est ce petit détail qui déclenche un entretien.
Comment sélectionner les centres d’intérêt pertinents
Choisir les bons centres d’intérêt dans un CV, c’est comme choisir les bons mots dans une conversation. Il faut que ça parle au recruteur. Il ne s’agit pas de tout dire, mais de dire ce qui compte.
Pose-toi la bonne question
Avant d’écrire quoi que ce soit, demande-toi : « Est-ce que ce centre d’intérêt montre une compétence utile pour le poste ? » Si la réponse est non, laisse tomber. Par exemple, dire que tu aimes « regarder Netflix » n’apporte rien. Par contre, « réaliser des courts-métrages » montre de la créativité et de l’initiative.
Fais le lien avec le poste
Un recruteur sur LinkedIn va chercher des profils qui collent à l’offre. Si tu postules pour un poste en gestion de projet, des activités qui montrent ton organisation ou ta résolution de problèmes sont à privilégier.
Exemples :
- Participation à des hackathons → montre l’innovation et l’esprit d’équipe
- Organisation d’événements associatifs → prouve ta gestion et ton leadership
- Pratique régulière d’un sport collectif → reflète le travail en équipe et la détermination
Privilégie la qualité à la quantité
Inutile d’en mettre dix. Trois ou quatre bien choisis suffisent. Ils doivent dire quelque chose sur toi. Pas juste remplir une case. Le but est de déclencher une discussion en entretien. Si tu écris « photographie », sois prêt à expliquer ce que tu aimes photographier, comment tu t’es formé, etc.
Sois spécifique
Ne dis pas « lecture ». Dis « lecture de biographies d’entrepreneurs » ou « romans de science-fiction ». Ça montre ton analyse, ta curiosité, ta motivation. Plus tu es précis, plus c’est facile pour le recruteur de faire le lien avec ton professionnalisme.
Adapte selon l’entreprise
Une startup tech ne cherche pas la même chose qu’un cabinet d’audit. Regarde leur page A propos, leur profil LinkedIn, leur ton sur les réseaux sociaux. Ça te donne des indices sur ce qu’ils valorisent. Si l’ambiance est jeune et dynamique, un intérêt pour l’innovation ou les nouvelles technologies peut faire mouche.
Évite les banalités
Certains centres d’intérêt sont trop vagues ou trop communs. « Voyages », « cinéma », « musique »… Ça ne dit rien sur toi. À moins que tu n’aies fait un tour du monde solo ou que tu composes de la musique électronique, évite. Ce n’est pas un concours de popularité, c’est une façon de montrer ta fiabilité ou ta flexibilité.
Sois honnête
Ne mens pas. Si tu dis que tu fais du théâtre, on peut te demander ton dernier rôle. Si tu n’as jamais mis les pieds sur scène, ça se verra. L’honnêteté montre ton professionnalisme et ta fiabilité. Deux qualités que tous les recruteurs veulent.
Les 10 centres d’intérêt qui plaisent vraiment aux recruteurs
1. Le sport collectif
Les recruteurs adorent voir du sport collectif sur un CV. Pourquoi ? Parce que ça montre que tu sais bosser en équipe, que tu as l’esprit de collaboration et que tu es capable de suivre des règles tout en gardant une motivation constante.
Exemples : football, basketball, handball, rugby.
Ce genre d’activité montre aussi ta capacité à gérer la pression et à rester concentré sur un objectif commun.
2. Les sports d’endurance
Course à pied, natation, cyclisme… Ces activités montrent une vraie détermination. Elles parlent de ton mental, de ta persévérance et de ta capacité à aller au bout des choses, même quand c’est dur.
Un recruteur va se dire : « Si cette personne est capable de courir un marathon, elle saura gérer un projet jusqu’au bout. »
3. Le bénévolat
Faire du bénévolat, c’est montrer que tu as des valeurs. Ça traduit aussi un bon professionnalisme et une capacité à s’impliquer sans forcément attendre une récompense.
Les recruteurs y voient aussi une bonne gestion du temps et une vraie fiabilité. Tu t’engages, tu respectes tes engagements. C’est rassurant.
4. Les activités artistiques
Peinture, dessin, théâtre, musique… Ces centres d’intérêt montrent ta créativité. Et aujourd’hui, dans un monde qui bouge vite, les entreprises cherchent des gens capables d’innover et de sortir du cadre.
Le théâtre, par exemple, développe la communication et la confiance en soi. La musique demande de la discipline et une bonne organisation.
5. Les voyages
Voyager, ce n’est pas juste partir en vacances. C’est s’ouvrir à d’autres cultures, apprendre à s’adapter, sortir de sa zone de confort. Ça montre ton adaptabilité et ton esprit d’analyse.
Un recruteur peut y voir une personne curieuse, capable de comprendre des environnements différents. Et donc, de mieux s’intégrer dans une équipe multiculturelle ou dans une entreprise internationale.
6. Les jeux de stratégie
Échecs, jeux de rôle, jeux de société complexes… Ces activités demandent de la réflexion, de la logique et une bonne gestion des ressources. Elles montrent que tu sais planifier, anticiper et prendre des décisions.
Ce type de loisir est souvent associé à un bon esprit d’analyse et à une capacité à résoudre des problèmes. Très apprécié dans les métiers techniques ou de management.
7. L’écriture
Écrire, c’est savoir structurer ses idées. C’est aussi savoir communiquer clairement. Que ce soit un blog, des nouvelles ou même un journal personnel, ce centre d’intérêt peut faire la différence.
Il montre une bonne maîtrise de la langue, de la créativité et une capacité à exprimer des idées de façon claire. Très utile dans des postes liés au marketing, à la communication ou à la rédaction.
8. La cuisine
Ça peut paraître banal, mais la cuisine demande de la précision, de l’organisation et souvent, un bon esprit d’équipe quand on cuisine à plusieurs. C’est aussi une activité qui demande de la créativité et de la patience.
En entretien, ça peut aussi créer un bon moment de discussion. Et parfois, c’est ce petit détail qui fait la différence.
9. La prise de parole en public
Participer à des conférences, faire du stand-up, être membre de Toastmasters… Tout ça montre une vraie aisance en communication et une bonne dose de leadership.
Tu montres que tu sais captiver une audience, défendre une idée, et que tu n’as pas peur de t’exposer. Très utile dans les métiers de la vente, du management ou de la formation.
10. Les projets personnels ou entrepreneuriaux
Lancer un podcast, créer un site, monter une petite activité en freelance… Ce genre de projet montre ton initiative, ta motivation et ta capacité à te débrouiller seul.
Les recruteurs aiment les gens qui ne restent pas passifs. Ces projets sont souvent liés à des compétences en gestion, en organisation et en innovation.
Et même si ça n’a pas marché, ce n’est pas grave. Ce qui compte, c’est d’avoir tenté.
Comment présenter efficacement vos centres d’intérêt
Adapter la présentation au poste visé
Les centres d’intérêt ne sont pas là pour remplir une case vide. Ils doivent servir votre candidature. Pour ça, il faut les adapter au poste. Un recruteur passe quelques secondes sur votre profil. Il faut que vos hobbies fassent tilt.
Par exemple, si vous postulez à un poste en gestion de projet, mentionner que vous organisez des événements associatifs montre vos compétences en organisation et en leadership. Si vous visez un job en marketing digital, dire que vous tenez un blog ou une chaîne YouTube peut souligner votre créativité et votre initiative.
Voici quelques correspondances utiles :
- Sport d’équipe → montre le travail en équipe, la collaboration, la motivation
- Jeux de stratégie → montre l’analyse, la résolution de problèmes
- Voyages → montre l’adaptabilité, la curiosité, la flexibilité
- Musique ou théâtre → met en avant la créativité, la gestion du stress, la communication
Évitez les hobbies trop génériques sans contexte. Donnez une touche qui colle à l’offre d’emploi. Un recruteur veut comprendre ce que vous pouvez apporter à l’équipe.
Utiliser des descriptions spécifiques
Ne vous contentez pas d’une liste. Décrivez. Soyez précis. Un centre d’intérêt bien présenté peut devenir un vrai levier. Il montre votre professionnalisme et votre fiabilité.
Par exemple, au lieu de dire “photographie”, dites :
“Photographie urbaine – j’ai exposé deux fois dans des galeries locales et je gère un compte Instagram avec 3 000 abonnés.”
Ça montre de la détermination, de la gestion de projet, de la créativité et de l’initiative.
Autre exemple : au lieu de “course à pied”, dites :
“Course à pied – participation à trois semi-marathons, entraînement régulier en club, objectif marathon 2025.”
Ça donne une image de quelqu’un de motivé, organisé et persévérant.
Utilisez ce format simple :
Centre d’intérêt | Description spécifique | Compétences mises en avant
|
---|---|---|
Improvisation théâtrale | Participation à un atelier hebdomadaire, spectacles mensuels | Communication, adaptabilité, esprit d’équipe |
Échecs | Membre d’un club, tournois régionaux | Analyse, résolution de problèmes, patience |
Podcast sur la tech | Création de contenu, 2 épisodes/mois, 1 000 écoutes | Innovation, communication, initiative |
Un recruteur voit tout de suite ce que vous apportez. C’est concret. C’est vivant. Et ça montre que vous avez réfléchi à votre profil.
Les erreurs à éviter
Ajouter des centres d’intérêt sur un CV peut faire la différence. Mais mal choisis ou mal formulés, ils peuvent aussi faire fuir un recruteur. Voici les erreurs les plus fréquentes à éviter pour ne pas plomber ta candidature.
Être trop vague ou générique
Écrire « cinéma », « lecture » ou « voyages » sans plus de détails ne dit rien sur toi. Ces mots sont trop larges. Ils n’apportent aucune info utile sur ta personnalité ou tes compétences.
Préférez des formulations précises, comme :
- Lecture de romans de science-fiction (Asimov, Bradbury)
- Voyages culturels en Europe de l’Est
- Participation à des clubs de critique cinéma sur Slack
Ça montre ton esprit d’analyse, ta curiosité ou ton sens de la communication.
Mentir ou exagérer
Dire que tu fais du triathlon alors que tu n’as jamais couru 5 km, c’est risqué. Certains recruteurs posent des questions sur tes centres d’intérêt. Si tu ne sais pas répondre, ça casse ton crédit direct.
Sois honnête. Mieux vaut un hobby simple mais vrai qu’un mensonge qui se voit. La fiabilité compte autant que le reste.
Mettre des activités trop personnelles ou sensibles
Évite les sujets qui peuvent diviser ou gêner. Par exemple :
- Engagement politique actif
- Opinions religieuses
- Militantisme extrême
Tu peux avoir ces passions, bien sûr. Mais ce n’est pas le bon endroit pour les afficher. Le CV doit rester professionnel.
Ajouter des hobbies sans lien avec le poste
Un recruteur — qu’il soit sur LinkedIn, en agence de placement ou RH dans une PME — regarde ton CV pour vérifier si tu corresponds au poste.
Si tu postules pour un job en gestion de projet, parler de ton élevage de reptiles n’apporte pas grand-chose.
Mieux vaut choisir des centres d’intérêt qui mettent en avant des qualités utiles dans le monde professionnel, comme :
- Organisation (ex : organisation d’événements associatifs)
- travail en équipe (ex : membre actif d’une équipe de volley)
- Leadership (ex : coach d’un club de débat)
Multiplier les centres d’intérêt
Une liste trop longue donne l’impression que tu veux remplir l’espace. Ou pire, que tu t’éparpilles. 3 à 5 centres d’intérêt bien choisis suffisent.
Ils doivent renforcer ton image : motivation, initiative, créativité. Pas noyer le message.
Oublier de les actualiser
Un centre d’intérêt vieux de 10 ans, c’est inutile. Si tu ne pratiques plus une activité, ne la mets pas. Le recruteur veut savoir ce qui te fait vibrer aujourd’hui.
Met à jour cette section comme tu le fais pour tes expériences. C’est un bon moyen de montrer ta flexibilité et ton adaptabilité.
L’impact de vos centres d’intérêt sur votre image professionnelle
Les centres d’intérêt ne sont pas juste une case à remplir sur un CV. Ils peuvent révéler des compétences et des qualités que les recruteurs cherchent. Bien choisis, ils renforcent votre image. Mal choisis, ils peuvent semer le doute.
Sur LinkedIn ou lors d’un entretien, vos hobbies peuvent faire la différence. Ils montrent qui vous êtes en dehors du cadre professionnel. Et parfois, c’est ce petit plus qui fait pencher la balance.
Des indices sur votre personnalité
Un recruteur ne cherche pas seulement un diplôme ou une expérience. Il veut aussi comprendre votre état d’esprit. Vos loisirs donnent des indices sur votre motivation, votre créativité ou votre travail d’équipe.
Par exemple :
- Un passionné de théâtre montre souvent une bonne communication et de l’aisance en public.
- Un amateur d’escalade peut refléter de la détermination et une bonne gestion du stress.
- Un joueur d’échecs ? Il évoque l’analyse et la résolution de problèmes.
Ces éléments peuvent compléter votre profil professionnel, surtout si vous postulez dans un secteur où ces qualités sont clés.
Des centres d’intérêt qui racontent une histoire
Un bon centre d’intérêt est celui qui a du sens. Il ne s’agit pas de lister des activités au hasard. Il faut pouvoir en parler, l’expliquer, montrer ce que ça vous a apporté.
Par exemple, dire « je fais du bénévolat » est bien. Mais dire « je coordonne une équipe de bénévoles pour une collecte annuelle » montre de la gestion, de l’organisation et de la collaboration.
Autre exemple : si vous animez un podcast, vous démontrez des compétences en communication, en initiative et en création de contenu. C’est concret. C’est parlant.
Aligner ses centres d’intérêt avec le poste visé
Vos loisirs peuvent appuyer votre candidature s’ils sont en lien avec le poste. Un développeur qui crée des jeux vidéo en side project ? C’est un plus. Un chef de projet qui organise des événements associatifs ? Ça montre de la gestion et de la flexibilité.
Sur les différents job boards, les offres précisent souvent les soft skills recherchées. Vos hobbies peuvent illustrer ces qualités de façon naturelle.
Attention aux centres d’intérêt trop vagues
Certains centres d’intérêt sont trop génériques. « Cinéma », « voyages », « musique »… tout le monde peut les écrire. Ils n’apportent rien si vous ne les développez pas.
Posez-vous la question : qu’est-ce que ce hobby dit de moi ? Si vous aimez voyager, parlez de votre capacité à vous adapter, à sortir de votre zone de confort. Si vous êtes passionné de musique, expliquez comment cela stimule votre créativité ou votre discipline.
Un levier pour briser la glace
En entretien d’embauche, un recruteur peut rebondir sur un centre d’intérêt. C’est souvent un moment plus détendu. Une occasion de montrer votre professionnalisme tout en restant vous-même.
Certains managers aiment aussi connaître les passions de leurs collaborateurs. Cela crée du lien, favorise la collaboration et renforce l’esprit d’équipe.
En résumé, vos centres d’intérêt peuvent être un vrai atout. À condition qu’ils soient sincères, pertinents et bien présentés.